Deejo, couteaux personnalisables depuis 2014.
13/03/2024
L’histoire veut que ce soit en lisant un passage de l’ouvrage de Philippe Delerm, « La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules », consacré à un couteau dans la poche (« A l’époque du fax, c’est le luxe rustique. Un objet tout à fait à soi, qui gonfle inutilement la poche, et que l’on sort de temps en temps, jamais pour s’en servir, mais pour le toucher, le regarder, pour la satisfaction benoîte de l’ouvrir et de le refermer » (CITIZEN K homme Hiver 2019/20), que Stéphane LEBEAU a l’idée d’alléger le classique couteau de poche et de lui rendre ses lettres de noblesse.
Il met alors au point en 2010 le couteau de poche le plus léger du marché « d’un poids comparable à celui d’une simple lettre », le manche ne pesant pas plus lourd que la lame (Le Figaro Magazine 2016) : pliable, fin, de forme symétrique avec un axe apparent et un manche évidé, associant le traditionnel et la modernité, la robustesse et la légèreté.
Qualifié d’« ovni du XXIème siècle », le couteau de poche Deejo « devient incontournable car c’est le produit à référencer d’urgence» (The Good Life sept./oct. 2017).
Son ami et compère de toujours, Luc Foin, amoureux des objets sous toutes leurs formes, de ceux auxquels on s’attache, que l’on répare plutôt que l’on ne les remplace, a l’idée de les tatouer. Les couteaux Deejo s’imposent dès lors comme un prolongement de la main, du corps, de la personnalité de son propriétaire. « Faire du couteau un objet très personnel et redonner à chacun le plaisir d’en faire un compagnon utile du quotidien » (Les Echos, suppl. we, oct. 2014), telle sera la devise assénée par Luc & Stéphane depuis le lancement de ce couteau de poche pour le moins singulier.
La presse spécialisée (coutellerie, randonnée, bateaux, sports, chasseurs) et grand public (magazines de mode, art de vivre) française et internationale relayent ce qui, rapidement, se révèle être un franc succès de par le monde (les couteaux Deejo sont commercialisés dans plus de 30 pays), et considèrent que « la petite marque française s’est fait un nom en à peine trois ans, au point d’être réclamée tant par les concepts-stores les plus «hype» que par les coutelleries traditionnelles (HOME Fashion News juillet 2017).
revue de presse
ELLE, 27 novembre 2014
mag L’ADN, 30 mars 2015
Grazia, 11 mars 2016
Monsieur magazine, juin 2018
CitizenK Homme, Hiver 19-20
Entreprendre, 16 avril 2019
Le Figaro Magazine, 18 mars 2016
L’Optimum, septembre 2016
Paperblog magazine, janvier 2016
Sport Auto, décembre 2017