Guen Douglas, artiste tatoueuse multiculturelle, signe un deejo intriguant.

Célèbre pour ses couteaux élégants et tatoués, Deejo est fier de poursuivre sa collaboration avec les tatoueurs les plus talentueux de leur génération à travers une nouvelle création signée Guen Douglas. 

Née au Québec, élevée pour partie en Amérique du Nord et en Angleterre, d’abord installée au Pays-Bas et désormais établie à Berlin, Guen Douglas est une artiste multiculturelle dont le style mêle l’esthétique du tatouage traditionnel avec des éléments contemporains. 

Pour Deejo, Guen Douglas donne vie à une femme mystérieuse et intrigante. Ce visage féminin tatoué sur la lame d’un couteau Deejo évoque une époque lointaine tout en restant d’une modernité saisissante. Les lignes fines et précises du tatouage captent l’essence de cette femme singulière, révélant à la fois sa force intérieure et sa grâce.

Ce partenariat entre Deejo et Guen Douglas célèbre l’union de deux mondes artistiques, où l’acier tranchant des couteaux Deejo rencontre la force d’un tatouage unique. Un objet qui raconte une histoire et capture l’imagination, fort d’un mélange riche de mystère et de beauté. 

Deejo x mikael de Poissy 

Longtemps marginal, le tatouage n’est plus l’apanage des malfrats ou des voyageurs au long cours. Pratiqué à toutes les époques et dans le monde entier, l’art du tatouage (du polynésien « Tatau ») remonterait à -1300 avant JC. Il s’agissait alors de colorier la peau pour marquer les étapes importantes de sa vie. 

Au moyen âge et jusqu’à la fin du XIXème siècle, le tatouage, considéré comme un symbole païen, est interdit par l’église partout en Europe. Il est alors surtout l’apanage des marins et des prisonniers, plus particulièrement en Russie où les détenus n’hésitent pas à détailler sur la peau leurs faits d’armes criminels… 

Le tatouage, longtemps pré carré des gangs et des mauvais garçons, s’installe dans la pop culture à partir des années 80, alors promus par des stars de la musique du rock, du punk, puis du rap.

Cette collaboration n’aurait pas pu voir le jour sans Tatouages Magazine qui a proposé à Deejo de fédérer sur 2 ans douze des plus célèbres tatoueurs au monde autour d’une collection exclusive qui décline tous les 2 mois le talent de ces artistes hors normes sur les lames des couteaux Deejo. Après Tin-Tin, Maud Dardeau, Jondix, Filip Leu, Diego Moraes et Mikael de Poissy, Deejo et Tatouages magazine vous donnent rendez-vous dans sur leurs sites internet respectifs et dans le dernier numéro du magazine pour découvrir les coulisses de cette collection hors du commun imaginée par Guen.